Ma vie
Ma vie, lorsque je pense à toi,
L'arc-en-ciel de mon coeur s'ouvre
Et je dis merci ;
Les heures sombres n'ont jamais été,
De rose, de blanc, de vert, de parme, tu m'embellis.
Ma vie, je t'aime
Que mes jours soient chargés, calmes ou agités ;
Du soleil, tu en met partout lorsque les jours sont gris
Il ne pleut sur moi que des perles d'émotions,
La passion me dévore, le frisson m'ensorcelle.
Ma vie, que d'amour, tu es belle !
Tu m'enchantes du dehors jusqu'au dedans,
Je suis reine du jour, du soir et même de l'infini,
Je crois aux étoiles, je crois aux esprits ;
Comme j'aime, je suis pure, naturelle, nue.
J'attends de toi toujours, priant pour que tu ne trépasses
Comme l'on nait un jour ne faisant que passer.
Je veux habiter le coeur de ceux que j'aime
De toute l'extase et de tous les instants magiques
Que je passe avec toi.,
Je veux éclore dans les coeurs comme des milliers d'Alléluia !
Mon rêve s'il est à ta hauteur se réalisera.
Ma vie, tu es l'horizon que je peux toucher du doigt
Tu ne palis jamais à ce qui s'ouvre devant toi
Tu es le magique Dysneyland étincellant dans les yeux des enfants
Qui jamais ne s'éteint quand le jour s'enfuit.
Je te dis merci, de tout mon coeur et de toute mon âme,
Ma vie, d'être la plus majestueuse et la plus riche,
De donner pour donner et d'aimer sans peur ;
Le frein à la tendresse est un inconnu agitateur
Qui n'existe que pour le cauchemard qui s'évapore au matin d'un baiser.
Je regarde une dernière fois le ciel avant de m'endormir,
Tous les beaux soirs du monde n'ont pas ton élégance et ta hauteur,
Je veux rêver encore et vivre, ma vie
Comme saoule et heureuse de te combler.
Il n'est de coeurs et d'âmes plus pure que celles qui aiment leur vie
Voilà pourquoi le naturel respire en moi
Et m'anime, habillant tout mon être de paillettes d'or.
16 octobre 2004. Pauley Perett