Je n'ai pas oublié, je n'oublie pas
Pensées réalisées à l'instant, au fil de mon inspiration du moment précis : 3h13 ce dimanche...
Pauline aujourd'hui, à presque 6 ans le 3 décembre
Je n'ai pas oublié,
Ces nuits passées ici, sur mon espace à moi seule (à vous aujourd'hui aussi) :
Pauley Poésie, né de mon bonheur, de mes larmes infinis
De mon coeur à jamais amoureux de l'être tout entier.
Je n'ai pas oublié,
Les délires, les joies, les choses sérieuses, l'émotion
Que procure un sentiment quel qu'il soit
Quand il est exprimé
De façon à faire vibrer le corps et l'esprit à l'unisson.
Je n'ai pas oublié,
Mes lecteurs, mes copains poètes et copines, mes amis(es)
Qui faisant abstraction de mes absences
M'ont toujours apporté
Un soutien, un plaisir, un sourire, un signe de vie.
Je n'ai pas oublié,
Même si je suis peu présente sur la blogosphère
Combien vous comptez pour moi
Et combien pour vous, je suis sure de compter
Même si souvent ce bien semble éphémère.
Je n'ai pas oublié
Ce pourquoi j'ai voulu tout écrire avec l'encre rouge de mon sang
Et ne rien cacher, ni mon visage, ni celui de ceux qui comptent
à mes yeux le plus au monde... Mes aimés,
Mon mari, mes parents, mes relations, mais en prime : mes enfants...
Ma famille, mais il en manque !! Sur cette photo, il y a mes parents, mes frères
mes grand-mères, deux de mes tantes, une cousine, un beau-frère, une belle-soeur,
des amis, mon neveu, mes nièces et deux de mes oncles. Mon mari, Pauline, Maxime et moi.
mes grand-mères, deux de mes tantes, une cousine, un beau-frère, une belle-soeur,
des amis, mon neveu, mes nièces et deux de mes oncles. Mon mari, Pauline, Maxime et moi.
Je n'ai pas oublié
Qu'ici, je reviens quand je le désire et non parce que,
Celui-ci ou celle-là ne viendra plus lire mes pages
Etre attentif(tive) ou bien ne faire que passer
Mettre mon blog en privilège qu'importe, parce que :
Je n'ai pas oublié
Que ce n'est pas pour me publier immédiatement
Où me convaincre de le faire par encouragement
Que j'ai créé Pauley
Toute grace dans NCIS, toutes imaginé ici.
C'est mon coeur qui me guide à l'écrit du bonheur,
"Du" fleur de peau quand je crie en silence mes colères,
Ma douleur, et aussi mes rivages et consolations.
Je reste entière encore pour exprimer hier en résumé
Et demain sans trop de discrétion...
C'est moi, Pauley, depuis que je vous croise
C'est moi, Valérie, depuis que j'aime et vis.
De tout ce temps je n'oublie pas, je n'oublie rien
Et si aujourd'hui, je reviens,
C'est que j'en ai envie.
Maxime aujourd'hui, à presque 1 an
Le 9 janvier
Le 9 janvier
Je vous adore, Pauley.