La blouse rouge et sa boniche
Ne soyez pas trop dur avec moi, j'ai ressorti un cet écrit de derrière les fagots, il a plu à plusieurs personnes, voilà la raison pour laquelle il est mis en ligne, seulement pour cela, parce que, personnellement, je le trouve assez maladroit et les mots me manquaient beaucoup sur ce texte... C'est ainsi que l'on se rend compte que l'on évolue souvent dans ses manières d'écrire...(bien que je pense tout ce que j'ai écrit)
A vous de juger...
C'est peut-être parce que les gens qu'elle fréquente
Lui disent trop qu'elle est sensationnelle
Qu'elle se dandine avec fierté, arrongante
Comme si tout ne tournait qu'autour d'elle.
C'est surement parce qu'elle a fait des études
Qu'elle croit son savoir plus développé et intelligent que celui d'autrui
Qu'elle se permet des réflexions, des attitudes
De "petit chef" au pouvoir négligent ceux qu'elle appelle "les tous petits".
Quand elle parle, elle accuse et ironise,
Quand elle regarde, elle toise et louche presque !
Ses sourires sont aussi faux
Que mes envies de la satisfaire.
L'autre croit tout savoir et tout comprendre,
Elle regarde les nouvelles comme des débutantes,
Elle voit ses espoirs sans entendre
Les rire derrière sont dos, pédante !
Elle écoute ses "chefs" cadettes en véritable petit soldat...
C'est un éternel petit pantin
Qui parle et dit oui à tout ce que "chef" lui demande...
Non, je ne la plaindrais jamais de rien,
Ces filles m'agacent sans et sur commande.
Je n'aime pas les inférieurs qui se croient supérieurs,
Qui n'ont que vanité et disent "amen" à tout,
Les petites boniches qui aiment plaire à leur patron
Balançant ça et là quelques hypocrisies
Pour un petit compliment sans moindre valeur...
Ces femmes là m'écoeurent et m'énervent au plus haut point,
Je fus caissière, un temps parmi ce genre d'énergumènes,
Je ne regrette pas d'en être désormais très loin
Heureuse d'être moi et d'aimer la vie que je mène...
6 février 2003. Pauley Perett