Ma tendre Pauline
Cet air qui m’interpelle ;
La nature la plus belle.
Elle a le don de m’offrir
Tout ce que rend belle une femme.
De son regard, par mes plaisirs
Elle est mon oriflamme.
Elle a comme premier amour
Nous, ses parents, ses génies ;
Elle hérite de nos tours
L’honnêteté de nos folies.
Elle ignore qu’en grandissant
Le monde pour elle changera d’allure
Et bien plus fort que des géants
Nous l’éloignerons d’une vie dure.
Je donnerais pour elle
Le plus beau de ce qui m’attire,
Je n’ai de vie sans elle
Plus d’histoire, plus d’avenir.
Et je peux même vanter
Les signaux qu’elle m’envoit.
Mes peines qui avortent,
Et la parure torrentielle
Elle est le fruit de mon bonheur
Où elle chauffe en lumière
Et toutes les parcelles de mon bon cœur
Où d’une fleur elle remplace une pierre.
Elle me donnera toutes les leçons
Qu’une mère doit retenir de son enfant :
L’art de lui plaire et la façon
D’être fidèle à ce que l’on défend.
Je lui offrirai mon temps, ma confiance
Et je l’espère ma compréhension,
Comme la fidélité créée une alliance,
Mon cœur est miroir de mes émotions :
Celles qui murmurent de vivre bien
Toujours en paix avec soi-même
Et de toujours savoir combien
Il est bon toujours dire « Je t’aime ».
Pauley Perett le 21 décembre 2007
« Je t’aime mon amour, je t’aime ma Pauline
Et tout ce qui m’embellis ressemble à vos sourires,
Que vous aimez comme j’aime la mienne à vos côtés.
En rayonnant de la sorte sur mon bien-être
Vous demeurez mon oxygène, mon paysage
Un grand cœur dans mon cœur qui jamais ne me déçoit.
Si je peux vous aimer plus fort encore qu’aujourd’hui
Je sais que je vous aimerez… Je sais que je vous aimerez »
Pauley