Un murmure du paradis
Sous cette étendue ténébreuse
Je cherche les lueurs
Qui me guident nombreuses
Vers mes anges rêveurs.
Je teste les nues
Comme un matelas moelleux
Sous l'air bienvenue
D'un été merveilleux.
Ce peut-il qu'il existe
Ce paradis auquel je songe
Et aspire, généreuse ou égoïste,
Ou n'est-ce qu'illusion ou mensonge ?
Pourquoi me poserais-je ces questions
Quand au plus profond de mon être
Chaque astre me procure une émotion ?...
Je n'étais rien avant de naître !
D'autres avis parsèmeront mon univers
En m'offrant leur expérience ;
Comme si dans une autre vie de lumière
Ils m'offraient cette chance.
Je ne dors presque plus
Pour admirer le ciel
Et y voir mon salut
A la moindre étincelle.
Mon ange ne dort pas,
Il veille à mes délices,
Je marche dans ses pas
Et bois à son calice.
Il tient de moi le bon
De mes pensées abruptes
Et donne à mes jurons
Une parcelle qui l'exulte.
Il sait que par amour
Je détesterais Dieu,
Que je suis prête pour le jour
Où j'y croirai un petit peu mieux.
Mon ange s'en est allé,
Mais il est toujours là
Partout où mon air inhallé
Me donne un soupir de joie.
Je songerai encore devant l'étoile
Qui me parle et qui brille
Car au travers d'un voile
On voit toujours ce qui scintille.
J'apporterai toujours du bon
Avec amour, avec passion
De ce ciel qui murmure
De cette voix qui me rassure.
A toi mon Papé...
Pauley Perett le 23 août 2007
Je cherche les lueurs
Qui me guident nombreuses
Vers mes anges rêveurs.
Je teste les nues
Comme un matelas moelleux
Sous l'air bienvenue
D'un été merveilleux.
Ce peut-il qu'il existe
Ce paradis auquel je songe
Et aspire, généreuse ou égoïste,
Ou n'est-ce qu'illusion ou mensonge ?
Pourquoi me poserais-je ces questions
Quand au plus profond de mon être
Chaque astre me procure une émotion ?...
Je n'étais rien avant de naître !
D'autres avis parsèmeront mon univers
En m'offrant leur expérience ;
Comme si dans une autre vie de lumière
Ils m'offraient cette chance.
Je ne dors presque plus
Pour admirer le ciel
Et y voir mon salut
A la moindre étincelle.
Mon ange ne dort pas,
Il veille à mes délices,
Je marche dans ses pas
Et bois à son calice.
Il tient de moi le bon
De mes pensées abruptes
Et donne à mes jurons
Une parcelle qui l'exulte.
Il sait que par amour
Je détesterais Dieu,
Que je suis prête pour le jour
Où j'y croirai un petit peu mieux.
Mon ange s'en est allé,
Mais il est toujours là
Partout où mon air inhallé
Me donne un soupir de joie.
Je songerai encore devant l'étoile
Qui me parle et qui brille
Car au travers d'un voile
On voit toujours ce qui scintille.
J'apporterai toujours du bon
Avec amour, avec passion
De ce ciel qui murmure
De cette voix qui me rassure.
A toi mon Papé...
Pauley Perett le 23 août 2007